samedi 18 août 2012

Carnet de voyage - Partie I

I'm back !
Les valises sont posées.
J'ai retrouvé mon nid.
J'ai abandonné le soleil méditerranéen pour le retrouver, hier, dans une capitale suffocante, allégée de ses habitants, sereine, reposante.
Dehors, ce matin, le bruit est suspendu, seul le sifflement d'un arrosage automatique chahute le silence.
La journée s'annonce brûlante.
J'espère que vous allez bien, que votre été vous est profitable, qu'il soit sous un soleil professionnel ou de décompression totale.

Après les galères de tous ces mois, j'ai pu goûter à un grand moment de félicité.
Il y a bien longtemps que je ne m'étais sentie aussi apaisée, légère, euphorique.
Enfin, j'ai la savoureuse sensation de m'extirper de l'obscur tunnel.

Quelque part en France, j'ai partagé mes vacances entre Racine et Napoléon, pour ne pas faire de jaloux ;)

Au programme des festivités, dans le désordre : copines, électro, farniente, éclats de rire, laryngite, courses de taureau, pégoulade, découvertes culinaire et régionale pour la gourmande et curieuse que je suis, siestes, mojito, lectures régressives, rêveries devant des paysages d'une générosité incroyable, pizzas, rivières, lagons, montagne, sautillements ensablés à la tombée de la nuit, mer, pâté de marcassin,  feu d'artifice et... amnésie (ne surtout pas me laisser grignoter les neurones, ne serait-ce qu'une seconde, par le tourbillon de la rentrée, le métro-sauna surpeuplé de la ligne 6, le périph' dégueulant, la crise et un Pôle Emploi anxiogènes (tiens, Pôle Emploi, toujours en service ?).

Trêve de bavardages, mon périple en images.
Partie 1 : retour au pays de Racine pendant 3 jours.
J'y suis arrivée dépouillée. Alanguie par la chaleur, je me suis laissée happer par le sommeil.

Départ de grandes vacances à la gare de Lyon, ça donne une foule compacte, fébrile, tendue




Ne pas honorer l'heure de l'apéro serait comme zapper l'heure du tea-time en Angleterre : une hérésie !

Le smile devrait toujours être à portée de nos regards
Préparation de la célèbre course de taureaux

Parce que nos âmes restent enfantines


Comme il serait bon de suspendre le temps...

Pour voyager sans fin... la liberté



Une clé du bonheur, derrière la porte...


Féerie d'un soir, espoir

A l'ombre du figuier...


Joke ;)









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